Vous êtes confrontés à un deuil et vous avez tout essayé pour vous en sortir ?

Vous avez beaucoup donné pour rester à flot en aidant les autres mais vous ressentez aujourd’hui que “mi gagne pi mi di a ou” / “j’en peux plus, je te dis” ?

vous avez besoin de prendre soin de vous pour continuer à avancer ; vous aspirez à trouver du soutien pour respirer à nouveau… ?

Après vous êtes sentis isolés, vous êtes maintenant prêts à partager ce que vous avez traversé ou ce que vous êtes en train de vivre ?

Pour que personne ne subisse l’isolement, je suis là pour vous aider à vous alléger du poids du deuil et retrouver un nouvel élan dans votre vie.

Qui suis-je ?

Je suis Nathalie Firminy et j’accompagne les personnes qui traversent un deuil à poursuivre leur vie avec résilience. 

De l’accompagnement des tout-petits dans leur développement, aux vieux à rester autonomes et libres le plus longtemps possible, j’ai créé des ressources comme mon livre “Ma vie de soignante en Ehpad : en immersion chez ces grands oubliés (Kiwi, 2022 ; puis 2 de  édition enrichie autoéditée sur Amazon en 2023) et le jeu de cartes “Parlons-en” pour vous aider à sortir de l’isolement, trouver du soutien vers la résilience.

Mes expériences et expertises, particulièrement dans le domaine de la gérontologie m’amènent à observer que l’accompagnement au deuil est un besoin essentiel de l’humanité.

“Le deuil est un long chemin de retour à la vie” Anonyme.

Mon blog

Parfois, les épreuves de la vie – les nôtres ou celles de nos proches – nous amènent à trouver notre voie. Les problèmes qui nous touchent contribuent à nous faire grandir. Nous avons incontestablement les mêmes besoins (moyens, temps, santé), mais nous n’adoptons pas les mêmes stratégies pour les nourrir.

Les liens que j’ai tissés m’indiquent que nous vieillissons mieux lorsque nous sommes entourés. Les observations du psychiatre et psychanalyste américain d’origine hongroise, René Spitz ont montré que si l’on prend soin de bébés (nourriture et soins physiques adéquats) sans établir avec eux un contact affectif, les enfants dépérissent et peuvent aller jusqu’à se laisser mourir. Il a utilisé le terme « hospitalisme » pour décrire l’état d’enfants dépérissant à l’hôpital ou en institution, dans ces conditions. Depuis, nous savons que ces troubles, proviennent du manque de contact affectif, de la carence relationnelle. Etablir une relation affective, un lien d’attachement, avec un autre être humain, est donc un besoin vital !
Mon but ici, est de partager des observations et expériences afin de nous permettre collectivement d’échanger des ressources utiles pour tous.